Une cure détox d’automne pour rebooster l’organisme

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cure détox d'automne

À chaque changement de saisons sa petite cure ! Votre cure détox d’automne va faciliter le travail des principaux systèmes d’élimination de votre organisme : foie, reins, intestins, poumons… Vous allez éliminer un maximum de toxines et, en douceur, nettoyer votre corps… de l’intérieur ! 

Cher lecteur, chère lectrice,
Ça y est : les enfants ont regagné l’école et nous, le boulot. Après un début d’année inhabituel et des vacances d’été particulières, nous sommes « dans le bain ». 

Devant nous, les mois sont pleins d’activités mais aussi d’inquiétude. En plus du virus, nous allons devoir (plus que jamais) entretenir notre système immunitaire pour faire face aux nombreux microbes qui profitent de l’automne et de l’hiver pour proliférer.

La nature, une fois de plus, nous offre des solutions simples et efficaces, pour nous préparer à l’allongement des nuits et au raccourcissement des jours, à la baisse des températures et à l’augmentation de l’humidité ambiante, à la nourriture plus roborative de la saison froide… La première d’entre toutes, c’est la cure détox d’automne.

À quoi sert cette cure ? À faciliter le travail des principaux systèmes d’élimination du corps (foie, reins, intestins, poumons) pour éliminer un maximum de toxines et améliorer globalement l’alimentation des cellules. Un corps mieux « nettoyé » et des cellules mieux nourries, voilà ce que je vous promets !  

La cure détox d’automne : une idée qui ne date pas d’hier !

L’idée d’alléger périodiquement son alimentation pour entretenir sa santé remonte à plusieurs millénaires. Dans ce passé lointain, il était surtout question de purifier son âme en contraignant son corps à la frugalité.

C’est le sens initial du ramadan musulman ou du carême chrétien. Au passage, chacun peut tester sa résistance au « plaisir facile », de manière à « éduquer » son esprit. Le but premier de ces cures (très !) restrictives était donc spirituel et comportemental.

Depuis, la science a percé certains mystères de notre corps. Nous savons aujourd’hui que ces pratiques ancestrales rejoignent les réalités de notre métabolisme. Elles assuraient (et assurent toujours pour ceux qui s’y plient) un rôle de « nettoyage métabolique ».

C’est ce « nettoyage » qui nous intéresse ici. L’évolution de notre société a engendré des habitudes quotidiennes qui ne permettent plus à notre organisme de se débarrasser de ce qui l’encombre. Il nous incombe donc de retrouver des gestes de détoxication, certes débarrassés de leur contenu religieux et spirituel, mais indispensables à notre équilibre et à notre bien-être.

Les philosophes se sont également penchés sur ce sujet. Dans Ecce homo, le philosophe Frederick Nietzsche écrit : « il est une question dont le salut de l’humanité dépend beaucoup plus que de n’importe quelle subtilité de théologien, c’est la question du régime alimentaire ». Lui qui souffrait de nombreux problèmes de santé, ne s’y était pas trompé. 

Dans certains pays, les gestes détox traditionnels sont encore couramment pratiqués. C’est le cas par exemple de l’Inde où les préceptes de l’ayurvéda (la médecine traditionnelle indienne) sont toujours intégrés dans la vie quotidienne. D’autres pratiques délaissées redeviennent « tendance », comme les huttes à sudation issues de la tradition des Indiens d’Amérique du Nord qui sont aujourd’hui intégrées à des stages de développement personnel.

https://actinutrition.fr/plantes-ayurvediques/

Aujourd’hui, sous nos cieux, les cures détox sont mieux codifiées. Il ne s’agit plus de se priver pour devenir plus sage, mais au contraire de se faire du bien d’une autre manière. La cure que nous vous proposons aujourd’hui répond à ces critères. 

Pour l’intégrer facilement à votre vie quotidienne, mieux vaut en saisir les effets bénéfiques. En automne, il ne s’agira pas de perdre du poids (même si quelques kilos peuvent s’envoler à cette occasion), mais à la fois de renforcer votre tonus physique et psychique, et de stimuler votre activité immunitaire.

Ainsi, ce qui vous attend, c’est un automne et un hiver sans fatigue (sauf si vous tirez trop sur la corde !) et une meilleure résistance aux infections. Pour cela, vous allez concocter « votre » cure détox d’automne à partir d’éléments alimentaires, de plantes et de quelques pratiques respiratoires (voir ci-dessous l’interview du Dr Rougier). 

« Il n’y a pas de détox réussie sans exercice respiratoire et sans relaxation ! » 

Dr Yann Rougier

Mais d’abord, faisons connaissance avec vos « amis de l’automne », ceux qui vous accompagneront au cours des semaines qui viennent.

Poireau et artichaut, les stars de votre cure détox d’automne

En matière de détox, tout commence dans l’assiette. L’automne nous offre de nombreux légumes dont deux seront vos associés du moment.

L’artichaut : un grand allié du foie. Il cumule plusieurs vertus complémentaires. Il draine le foie et le débarrasse de ses déchets. Il augmente la production et l’évacuation de la bile. Il renferme aussi beaucoup de potassium (385 mg pour 100 g), ce qui le rend légèrement diurétique. Il fournit des fibres qui améliorent le transit en douceur. Il a ainsi un rôle globalement drainant sur l’organisme.

En prime, l’artichaut contient un sucre très particulier, l’inuline, qui n’est pas digéré mais qui sert de nourriture aux bonnes bactéries intestinales (on dit qu’il est prébiotique). Il contribue ainsi à la santé de notre microbiote.

En pratique. Les jeunes artichauts, très tendres, peuvent se manger crus, en trempant les feuilles dans une vinaigrette légère au citron. Les plus gros ont besoin d‘être cuits pour gagner en tendreté (à la vapeur ou au court-bouillon). Enfin, vous pouvez cuisiner les cœurs des jeunes artichauts (avec la base des feuilles) ou les fonds des plus gros (débarrassés de toutes les feuilles), à l’étouffée ou en barigoule. 

poieau cure détox d'automne

Le poireau : pour nettoyer vos intestins. Son principal intérêt dans une cure détox d’automne réside dans ses longues fibres de cellulose qui restent fermes même après la cuisson. Elles traversent le tube digestif et arrivent presque intactes dans l’intestin, où elles agissent à la manière d’un écouvillon : elles le nettoient et ramassent une grande partie des déchets accrochés sur ses parois.

Au-delà de cet effet mécanique, le poireau contient de la pectine qui équilibre le transit. Il est également légèrement diurétique, grâce à sa teneur en potassium et à la présence d’un sucre assez rare, le fructosane, qui stimule l’élimination rénale.

En pratique. Le poireau ne se consomme jamais cru. On le fait cuire au court-bouillon ou à la vapeur, puis on le mange assaisonné d’une vinaigrette ou d’une sauce au yaourt (plus efficace sur le plan intestinal). Vous pouvez aussi cuire lentement à l’étouffée des rondelles de poireaux pour obtenir une fondue qui accompagnera aussi bien viandes et poissons, que légumes et céréales

Raisin et pruneau, les top-fruits de l’automne

En période détox, les légumes, c’est bien. Les fruits, c’est bien aussi à condition de les choisir judicieusement.

Le raisin : la star de la détox de saison. Il cumule les actions bénéfiques. Avant tout, il draine les cellules rénales et augmente le volume des urines. Une qualité majeure lorsqu’on désire se débarrasser des toxines car la plupart d’entre elles sont éliminées par voie rénale. Le raisin agit aussi au niveau intestinal grâce à ses fibres douces. Il fournit une bonne quantité d’anti-oxydants.

Le raisin se prête particulièrement bien aux monodiètes (voir ci-dessous) : contrairement aux autres aliments détox (qui sont généralement peu caloriques), il contient une grande variété de sucres, certains de pénétration rapide et d’autres plus lents. Il apporte donc de l’énergie sur un laps de temps assez long, même lorsqu’on ne mange que lui pendant deux jours.

En pratique. Sa consommation la plus courante est la plus simple : on le déguste à même la grappe, après l’avoir rincé sous l’eau claire. Mais c’est oublier un peu vite qu’on peut cuisiner le raisin. Crus, vous pouvez ajouter ses grains épluchés et épépinés dans vos salades salées ou sucrées. Vous pouvez aussi intégrer des grains de raisin en fin de cuisson, dans les accompagnements des volailles maigres, du lapin ou des poissons blancs. 

https://actinutrition.fr/bienfaits-du-raisin-infographie/

Le pruneau : l’ami du transit. Tout le monde connait l’effet laxatif des pruneaux. Cela s’explique par les fibres qu’il contient (principalement cellulose et pectine), mais aussi par la présence de sorbitol. C’est une substance de la famille des sucres, qui agit sur la vésicule biliaire et sur le transit. Enfin, les pruneaux renferment un composé directement laxatif appartenant à la famille des indols. Le tout produit un effet rapide sur le transit, sans pour autant irriter les parois intestinales. De quoi accélérer l’élimination intestinale tout en douceur pendant votre cure détox d’automne. 

En pratique. Le pruneau est une variété de grosse prunes noires, que l’on consomme séchées. Vous pouvez les grignoter nature, comme des friandises. Mais vous pouvez aussi les intégrer à des préparations culinaires. Pour cela, il suffit de les rajouter en court de cuisson (avec des viandes blanches, du lapin, des volailles…) ou les intégrer dans des compotées de fruits ou de légumes. Vous pouvez aussi faire tremper vos pruneaux pendant quelques heures dans de l’eau tiède ou du jus d’orange frais, pour les déguster au petit-déjeuner.

Des compléments utiles pour votre cure détox d’automne

En augmentant votre consommation de végétaux, vous allez augmenter tout naturellement vos apports en vitamines et minéraux. Cependant, un petit coup de pouce complémentaire est souvent le bienvenu. 

Outre la vitamine C et le magnésium, dont tout le monde connaît l’importance, pensez à l’association des vitamines K2 et D3. Facilement assimilables, elles stimulent le fonctionnement immunitaire et ont un effet apaisant sur le système nerveux (très utile en cas de déprime hivernale). 

Des apports en zinc sont également conseillés. Cet oligo-élément stimule l’immunité. C’est un anti-oxydant majeur qui participe au métabolisme des protéines, des lipides et des glucides. En prime, il aide à préserver la libido (surtout masculine), ce qui peut s’avérer précieux lorsque le désir a tendance à s’affaiblir pendant les mois d’hiver.


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Les plantes drainantes qu’il vous faut

Pour soutenir vos organes émonctoires, pensez aussi aux plantes médicinales. Certaines ont une action drainante qui complète bien celle des végétaux de saison. 

Le thym. Dans notre tradition populaire, le thym est réputé améliorer la digestion. En fait, cette plante exerce un effet tonifiant sur le système digestif et stimule directement le foie. Mais son action ne s’arrête pas là. Le thym est aussi très actif sur le plan respiratoire puisqu’il est antimicrobien, antitussif et expectorant. De quoi protéger la région pulmonaire pendant les mois d’automne et d’hiver.

En pratique : une branche de thym, frais ou séché, parfumera agréablement vos plats Pour vos cuissons à la vapeur, mettez un bouquet de thym dans l’eau qui frissonne sous le panier de cuisson. En complément, pensez aux tisanes (la saveur est agréable) : une cuillerée à café pour un bol d’eau bouillante, à laisser infuser 3 à 4 min. Vous pouvez boire jusqu’à 3 bols par jour.

Le bouleau. C’est au niveau de l’élimination rénale que les feuilles de bouleau agissent. Elles ont un effet diurétique important, au point qu’on les prescrit traditionnellement pour combattre l’hypertension artérielle (l’augmentation du volume urinaire entraîne une diminution du volume sanguin). Au-delà, les feuilles de bouleau sont globalement drainantes.

En pratique. On compte une cuillerée à soupe de feuilles séchées pour un bol d’eau bouillante, à laisser infuser 10 minutes avant de filtrer. Il est conseillé d’ajouter une pincée de bicarbonate à l’infusion avant de la boire, afin de dissoudre certains principes actifs résineux. L’infusion n’en sera que plus digeste et plus efficace. Vous pouvez boire jusqu’à 3 bols par jour, le dernier avant 17 h. 

Le plantain. Cette plante possède un effet dépuratif global, doublé d’une action adoucissante et astringente. Sur le plan pulmonaire, il calme les irritations et aide l’expectoration. Il est, en plus, légèrement diurétique et laxative. Elle agit donc en même temps sur plusieurs organes émonctoires. Enfin, le plantain est tonifiant. Il aide donc à stimuler l’organisme lorsque l’intoxination commence à user les réserves d’énergie. C’est une plante à l’action douce, que l’on peut consommer sans risque.

En pratique. Pour que l’infusion de plantain soit pleinement efficace, il faut la boire en dehors des repas. Comptez 1 cuillerée à soupe de feuilles séchées pour un bol d’eau bouillante et laisser infuser 5 minutes. L’idéal est de prendre un bol d’infusion au milieu de la matinée et un autre au milieu de l’après-midi. 

Comment planifier votre cure détox d’automne ?

Pendant quatre semaines, vous allez commencer par alléger votre alimentation. En clair : davantage de légumes et de fruits frais locaux et de saison ; moins de viande et plus de poissons blancs (peu gras) ; des céréales complètes ou semi-complètes en quantité raisonnable.

L’essentiel est de supprimer les sucres rapides (sucre blanc, confiture, bonbons, sodas, pâtisseries industrielles, produits à base de farine blanche très raffinée) et de bien choisir les matières grasses de manière à optimiser l’apport en acides gras essentiels (huile d’olive ou de soja pour la cuisson, huile de noix, de sésame, de carthame… pour les assaisonnements). 

N’oubliez pas les aromates dont certains ont aussi des vertus drainantes : la badiane dépurative ; le clou de girofle assainissant ; la cardamome digestive ; les graines de fenouil qui favorisent un bon transit…

Ensuite, c’est sur cette base alimentaire que vous organiserez votre cure. Passée la première semaine, mettez l’accent sur les fruits et légumes ci-dessus de manière à en absorber au moins un par jour. Continuez ainsi pendant trois semaines. 

Si le cœur vous en dit, vous pouvez commencer par un « coup de boost » en suivant une courte monodiète. Pendant la première semaine, suivez les conseils ci-dessus en allant un peu plus loin : éliminez progressivement les sucres, puis les protéines animales et les matières grasses. Puis, pendant 24 h (48 h au maximum), vous ne mangerez qu’un seul végétal (fruit ou légume), cru ou cuit à la vapeur, non assaisonné. Le plus simple est de choisir le raisin, mais vous pouvez aussi faire une cure de poireau si vous adorez ça. Ensuite, vous réintégrez progressivement les autres aliments jusqu’à revenir à une alimentation légère, variée et saine, comme celle préconisée ci-dessus.

En plus, buvez suffisamment d’eau (de source de préférence), par petites quantité tout au long de la journée. Ajoutez quelques tisanes que vous choisirez en fonction de vos besoins, et alternez des compléments alimentaires ciblés.

N’oubliez pas l’activité physique. C’est un agent détox d’importance à condition de pratiquer régulièrement (une demi-heure par jour). Enfin, quelques exercices de respiration et/ou de relaxation complèteront ce programme (voir ci-dessous l’interview du Dr Rougier).

Vous trouverez tout cela compliqué ? Rassurez-vous ! Il vous suffira de deux ou trois jours pour prendre vos nouvelles habitudes. Un exemple de journée-type :

  • Le matin, un exercice respiratoire et un complément alimentaire.
  • En milieu de matinée, un exercice de relaxation.
  • Un déjeuner détox
  • Dans l’après-midi, un bol de tisane détox
  • En fin d’après-midi, une demi-heure d’exercice physique (de la marche par exemple).
  • Un dîner détox
  • Dans la soirée, un bol de tisane détox
  • Au coucher, un exercice de respiration et/ou de relaxation

Cette cure détox d’automne vous permettra d’aborder l’hiver en forme, et avec un système immunitaire au top !

3 questions au Dr Yann Rougier

Le Dr Yann Rougier, Médecin Spécialiste et neurobiologiste

En matière de détox », vous mettez l’accent sur la respiration et la relaxation. Pourquoi ?

Dr Yann Rougier : Nous nous nourrissons d’aliments liquides et solides, mais aussi d’air. Chaque jour, nous absorbons environ 1 kg d’aliments solides, 2 kg de liquides et… 8 kg d’air ! On peut donc dire que l’air est notre principal aliment. Mais pour en profiter, encore faut-il apprendre à bien respirer. L’idée peut paraître étrange, puisque nous respirons tous sans y penser depuis notre premier souffle. Mais « bien respirer » ne va pas de soi. C’est pourquoi une détox n’est pas complète si l’on n’y ajoute pas des exercices respiratoires simples.

Par exemple : pendant 5 minutes, respirer profondément et amplement en comptant de manière que l’expiration dure deux fois plus longtemps que l’inspiration. On compte lentement jusqu’à 3 ou 4 en inspirant, et jusqu’à 6 ou 8 en expirant. Cela permet de mieux vider les poumons des déchets gazeux qu’ils retiennent, mais aussi de lutter contre l’excès d’acidité de notre milieu intérieur qui entretient fatigue, fragilité immunitaire, douleurs… Le gaz carbonique est très acidifiant. Mieux l’évacuer permet de réguler cette acidité.

Qu’en est-il de la relaxation ?

Dr Yann Rougier : L’excès de tension nerveuse généré par le stress crée un déséquilibre entre les deux branches du système nerveux autonome, celui qui gère nos fonctions vitales inconscientes : respiration justement, mais aussi digestion, sommeil… A la longue, cela se traduit dans le corps par une série de désordres qui affectent ces différentes fonctions.

En période de détox, les pratiques de relaxation ont donc une place importante : si l’on veut rendre à l’organisme toute son efficacité, il faut lui offrir un peu de calme et de paix intérieure. Prenez l’immunité : c’est un système de protection extrêmement complexe et très efficace, à condition qu’il ne manque pas des nutriments dont il a besoin. Pour lui rendre son efficacité, il convient donc de mieux le nourrir. Mais cela ne suffit pas toujours. On sait que la tension nerveuse, les émotions dérangeantes, les pensées négatives… affectent l’activité des cellules immunitaires. Pour préparer le corps à affronter les nombreux microbes de l’hiver qui approche, il vaut mieux apprendre à les évacuer et à les gérer.

Quel est le lien entre ces deux pôles ?

Dr Yann Rougier : Il est permanent ! Tout travail de relaxation commence par des exercices de respiration. C’est la seule de nos fonctions qui soit la fois consciente et inconsciente : nous pouvons retenir notre souffle à loisir, l’accélérer, le ralentir… Juste en le décidant. C’est la seule de nos fonctions qui possède cette dimension de « pont » entre le physique et le psycho-émotionnel. C’est pour cette raison que le simple fait de ralentir le souffle produit un apaisement nerveux très rapide.

Les relaxations ajoutent à ce socle respiratoire un travail sur les images mentales, les sensations corporelles profondes… Chaque technique organise différemment ces exercices, mais le résultat est le même : reprendre possession de son corps afin de lever les blocages qui l’empêchent de fonctionner dans de bonnes conditions. C’est une manière simple et naturelle d’empêcher fatigue, déprime hivernale, infections à répétition… Une bonne détox d’automne doit cibler ces « toxines mentales » autant que les toxines physiques et les déchets métaboliques !

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